ENSEIGNEMENTS - RABBI NAHMAN DE BRESLEV
- Génération Breslev
- 2 mai 2018
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Culpabilité
La culpabilité, l’angoisse rongent et paralysent. On doit déployer
tous ses efforts pour être constamment joyeux. Même en période
de difficultés et de souffrances, quand nous pensons être loin de
Dieu, nous devons constamment rester joyeux, et nous
réconforter autant que possible en recherchant en soi un point
positif.
Nous avons déjà le privilège que Dieu ne nous ait pas créé non-
juifs! On doit s’efforcer de transformer toute tristesse et
dépression en joie, en se disant: «Même en étant ce que je suis,
j’ai encore le mérite d’être né Juif.
Combien de bonnes actions je peux accomplir chaque jour:
Tsitsith, Téfilin, récitation du Chéma’ Israël, faire la charité,
etc...
La façon dont je les accomplis laisse peut-être à désirer. Malgré
tout, elles ont certainement quelque chose de positif, et dans les
mondes supérieurs, elles apportent peut-être la joie!»
Cela s’applique même aux mitsvot accomplies par ceux qui
commettent des péchés, parce qu’aussi longtemps qu’ils portent
le nom de Juifs, Dieu s’en glorifie, comme il est écrit: «Israël en
qui Je me glorifie!» (Isaïe 49, 3).
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